TEMPÊTE
D’après l’œuvre originale de Sébastien Bernand
Je me suis retrouvé un jour au cœur d’une tempête.
Pas une tempête de vent, mais d’émotions. De peur. De silence.
"Tempête" est née de ce moment où tout se confond : le haut, le bas, le vrai, le vide.
J’ai peint ce chaos pour ne pas m’y noyer. Pour en sortir quelque chose de vivant.
Si tu choisis d’accueillir cette impression, sache qu’elle porte une part de cette traversée.
Elle n’efface pas les tempêtes, mais elle rappelle qu’on peut y survivre —
et en ressortir plus fort.
Accrocher "Tempête", c’est choisir de faire face.
C’est embrasser le mouvement.
C’est se rappeler que même dans la tourmente, on peut rester ancré.